LaBible n’indique pas aux chrétiens un jour particulier pour commémorer la mort de Christ : elle nous donne toute liberté dans ce domaine. Romains 14.5 nous dit : « L’un fait une différence entre les jours, un autre les estime tous égaux. Que chacun ait dans son esprit une pleine conviction. » La Bible nous enseigne de commémorer la mort de Christ par le repas du Seigneur, plutôt
Desmaisons et appartements dans un havre de paix. Au cœur d’un écrin de verdure, la résidence est composée d’appartements du studio au 4 pièces et de maisons familiales de 3 chambres. Idéalement disposés autour d’une place conviviale agrémentée d’une crèche, tous les logements bénéficient de grands espaces extérieurs.
heureusela nation qu’il s’est choisie pour domaine ! Du haut des cieux, le Seigneur regarde : il voit la race des hommes. R Dieu veille sur ceux qui le craignent, qui mettent leur espoir en son amour, pour les délivrer de la mort, les garder en vie aux jours de famine. R Nous attendons notre vie du Seigneur : il est pour nous un appui, un
Quil est lumière et qu’il est omniprésent dans nos vies. Aujourd’hui, lorsque je pense à ma fin, j’oscille entre la crainte du jugement au moment de la mort et la miséricorde de Dieu
Martyrde la foi. A vant de nous expliquer la portée mystique de la mort de Charles de Foucauld, l'abbé de Nantes s'attache à en établir avec précision les causes historiques et les circonstances. En 1953, les Cahiers Charles de Foucauld renouvelèrent la question en publiant une étude du lieutenant Charles Vella, ancien officier saharien
Nosélites économiques et politiques tentent de nous persuader qu’une fois surmontées les difficultés financières actuelles, la relance
. Arnaud Niv 18 - Démembreur de krakens Messages 3866 Enregistré le 13 juil. 2014, 1209 Localisation Val-de-Marne, France Clerc - Domaine de la tombe cohérence du RP En prévision d'un futur perso pour une campagne à venir je lisais ce matin les nouvelles classes du Xanathar et je suis tombé sur quelque chose qui m'a intrigué au sujet du clerc du domaine de la tombe Je copie ci dessous ce que le site indique, en mettant en gras les éléments qui m'ont questionné Domaine de la tombe Les dieux de la tombe veillent sur la frontière entre la vie et la mort. Pour ces déités, la mort et l'au-delà sont une partie fondamentale du multivers. Pour eux, résister à la mort ou déranger le repos des morts est une abomination. Les dieux de la tombe incluent Kelemvor, Wee Jas, les esprits ancestraux de la cour d'Outre-Mort, Hadès, Anubis et Osiris. Ces dieux enseignent à leurs serviteurs à respecter les morts et à leur rendre hommage. Les fidèles de ces dieux aident les esprits tourmentés à trouver le repos. Ils détruisent les morts-vivants où qu'ils les trouvent, et apaisent les souffrances des créatures mourantes. Leur magie leur permet de sauver une créature de la mort, mais ils refusent d'utiliser celle-ci pour allonger la vie d'une créature au-delà de ses limites naturelles. Sorts de domaine Niveau de clerc Sorts 1 fléau, simulacre de vie 3 préservation des morts, rayon d'affaiblissement 5 réanimation, toucher du vampire 7 flétrissement, protection contre la mort 9 coquille antivie, rappel à la vie N'est-il pas incohérent que des clercs qui s'interdisent de prolonger une vie au delà du naturel se permettent de rappeler des héros morts au combat ? Ou bien faut-il comprendre qu'il y a une différence entre mort naturelle de vieillesse et mort accidentelle ? Cette explication pourrait tenir mais dans ce cas, je me demande ce qu'ils "refusent" exactement quant à l'utilisation de leur magie ? Quel sort de clerc un clerc de ce domaine s'interdirait-il d'utiliser s'il ne se prive pas de lancer des rappels à la vie ? argan argar Niv 8 - Désintégrateur de trolls Messages 123 Enregistré le 03 avr. 2017, 2154 Localisation Auxerre Re Clerc - Domaine de la tombe cohérence du RP Message par argan argar » 28 déc. 2018, 1727 Effectivement niveau cohérence ce n'est pas terrible. Je pense que le mj doit trancher en pensant au contrat social de son univers vis à vis de la mort. Serait-ce une magie réservée à une élite? La mort peut-elle être refusée suivant une cause particulière? Faut-il considérer la mort due à autre chose que la vieillesse comme non naturelle? Je n'ai pas de joueur qui interprète de clerc de ce domaine, mais il faudra que je cogite la chose. Merci d'avoir soulevé ceci. OliM Niv 7 - Chasseur de fantômes Messages 69 Enregistré le 06 août 2018, 0056 Localisation La Garde, Var Re Clerc - Domaine de la tombe cohérence du RP Message par OliM » 28 déc. 2018, 1849 Je pense que c'est exactement ça... D'ailleurs, il est impossible d'employer Réanimation et Rappel à la vie sur des créatures mortes de vieillesse je crois... vykiath Niv 16 - Tueur de balors Messages 1613 Enregistré le 17 juil. 2014, 1325 Re Clerc - Domaine de la tombe cohérence du RP Message par vykiath » 28 déc. 2018, 1952 Ah , les incohérences des préceptes de foi Dans un sens c'est plutôt raccord avec les religions réelles et ca permet de rendre les préceptes discutables et sujets à interprétation. Ça peut créer des dissensions et des dissidences au sein du même culte et être générateur de pas mal de jeu. Ça donne un aspect faillible au dieu ou lui donner un aspect mystérieux et difficilement compréhensible par un simple mortel. Modifié en dernier par vykiath le 28 déc. 2018, 1953, modifié 1 fois. blueace Admin Messages 2528 Enregistré le 21 févr. 2014, 0241 Localisation Mexico City, Mexico Re Clerc - Domaine de la tombe cohérence du RP Message par blueace » 28 déc. 2018, 1953 Arnaud a écrit ↑28 déc. 2018, 1344faut-il comprendre qu'il y a une différence entre mort naturelle de vieillesse et mort accidentelle ?Je pense que c'est ça moi a écrit ↑28 déc. 2018, 1344dans ce cas, je me demande ce qu'ils "refusent" exactement quant à l'utilisation de leur magie ? Quel sort de clerc un clerc de ce domaine s'interdirait-il d'utiliser s'il ne se prive pas de lancer des rappels à la vie ?Ben justement, c'est pas qu'ils s'interdisent des sorts, c'est certains usages de ces sorts qu'ils se refusent à refusent d'utiliser [leur magie] pour allonger la vie d'une créature au-delà de ses limites naturellesÇa me semble donc clair. Pour ramener à la vie un aventurier qui vient de tomber face à un monstre oui, mais pour rendre éternel un roi, c'est non.
Qu’est-ce donc que la mort, du point de vue chrétien ? Celui qui meurt connaît, d’expérience, la conséquence dernière du péché. Il endosse la pleine responsabilité de l’agir de l’homme, se soumet à la vérité et au jugement, non d’ailleurs dans l’isolement et le désespoir, mais inclus dans la Rédemption qu’opère l’amour de Dieu. La mort n’est plus l’obscurité redoutable, suprême conséquence du péché, elle fait bien plutôt participer l’homme à cette transformation par laquelle la magnanimité de Dieu a changé la fin en un nouveau commencement. Elle est le passage qui mène à la vie nouvelle. Vers la Lumière, © Anne Gallot Et nous retrouvons là cet arc, dont il fut parlé. Dans le Christ, l’être de l’homme subsiste à nouveau, allant à Dieu et venant de lui. Non pas seulement de nouveau », mais en une modalité neuve, prodigieuse modalité de l’Incarnation du Fils de Dieu. Dans la foi nous devons y prendre part, non de par notre être, propre et de plein droit, mais par grâce. Néanmoins, réellement ; Paul ne cesse de redire que l’existence humaine est vie du Christ dans l’homme et de l’homme dans le Christ. En lui, pour chacun de nous aussi, l’arc s’élève et se projette à nouveau ; quant à la mort, elle est l’obscurité que traverse l’arc. La vie nouvelle qui fait suite à la mort n’est pas simple durée permanente de l’âme, que son immatérialité rend indestructible. La mort serait alors telle que Platon l’a pensée la libération des limites et des pesanteurs du corps, pour atteindre la liberté d’une existence purement spirituelle. Ce que le Christ a conquis de haute lutte et a annoncé à un tout autre sens, d’une dimension toute divine, et en même temps profondément accordée au plus intime de nous-mêmes le salut, non de l’âme seule, mais de tout l’homme ; la rénovation de l’homme par la puissance créatrice de Dieu. La mort garantit le sérieux de ce salut et de cette rénovation, car sans elle le contenu du message du Christ serait pure imagination. La mort du Christ est la manière dont il a fondé cette rénovation dans la réalité de l’être. Notre mort à nous sera la manière dont nous y participerons dans la droiture. La vie nouvelle qui succédera à la mort n’est pas une extension de la vie terrestre jusqu’au domaine de l’au-delà , ni le simple accomplissement de la fondamentale volonté de vivre. En ce cas, la mort ne serait qu’une irruption d’une forme de vie en une autre, une transmutation commandée par une loi interne de son être, analogue au processus par lequel le papillon se glisse hors du cocon décomposé. Ce que le Christ a opéré et annoncé n’est pas nécessité ontologique mais grâce. La nouvelle existence vient en qualité de don gratuit de l’acte créateur de Dieu elle est en même temps accomplissement de l’homme, dont c’est le mystère de subsister, en dernière analyse, non par la loi, mais par la rencontre avec Dieu et avec sa liberté aimante. Quant à la mort, elle est cette dure barrière qui sépare cette liberté d’amour de tous les jeux de l’arbitraire. La mort du Christ est la grave affaire du Dieu aimant notre mort, la grave affaire de l’homme qui est aimé de Dieu. Puisqu’il faut partir, © Anne Gallot La vie nouvelle qui doit faire suite à la mort s’enracine dans les rapports personnels avec le Christ. Il est difficile d’exprimer la différence les concepts et les mots doivent être transposés à un autre plan. Ce qu’on trouve de l’autre côté » de la mort n’est pas une surélévation de ce qui est de ce côté-ci » ; ce n’est pas que le sens de l’éternel éclate simplement à nos yeux, ni que l’abîme de la Divinité s’entrouvre et se communique, ou quelque chose de la sorte, cela repose plutôt entièrement sur la personne du Christ. La vie éternelle, c’est communier à la consommation de sa vie, de cette vie à laquelle il a accédé à travers la mort. Le fait que le Christ nous aime et nous appelle à entrer dans cet amour rend possible la vie éternelle. Qu’il nous donne libéralement la communauté de l’amour, fonde et conserve cette vie. C’est dans l’amour qui va jusqu’à la Rédemption que le Christ a assumé notre destinée. En ce même amour, il nous fait participer à la sienne. Dans le mystère de la foi et de la nouvelle naissance, nous pénétrons jusqu’à la consommation de la vie, de la mort et de la résurrection du Christ. Ainsi la mort est cette suprême démarche que, la main dans la main du Christ, nous risquons hardiment vers la grande promesse. Tout ce que la mort peut apporter d’oppression et de dislocation, d’impuissance et d’agonie, tout cela contient la mort du Christ, mais ce n’est là que l’une des faces tournées vers nous de cette réalité dont l’autre face se nomme Résurrection. Romano Guardini, Les fins dernières, p. 21-22
À partir de 1975, Lacan a reconnu clairement, à plusieurs reprises, les apories de la 1977, sur l'éthique "Notre pratique est une escroquerie, bluffer, faire coller les gens, les éblouir avec des mots qui sont du choqué, [...] Du point de vue éthique, c'est intenable."En 1978, sur la scientificité "La psychanalyse n'est pas une science. [...] C'est un délire - un délire dont on attend qu'il porte une science."En 1979 sur le conditionnement des analysés "Ce n'est pas une science du tout parce que c'est irréfutable. [...] C'est une pratique de bavardage [...] Le psychanalyste est un rhéteur. [...] n'opère que par suggestion. Il suggère, c'est le propre du rétheur, il n'impose d'aucune façon quelque chose qui aurait consistance."Le 5-1-1980, Lacan déclarait dans sa "Lettre de dissolution" "J'ai échoué - c'est-à -dire me suis embrouillé. [...]Freud a permis que le groupe psychanalytique l'emporte sur le discours, devienne Église."
Info. personnage Cité du vin et de la poésie, Mondstadt est le foyer d’une activité vinicole réputée à travers tout Teyvat. Diluc, le propriétaire du Domaine de l’Aurore, a la main mise sur la moitié de l’industrie du vin de Mondstadt. Il bénéficie ainsi non seulement de confortables rentrées d’argent, mais également d’un réseau d’informations conséquent via les discussions des clients. Le jeune homme est en quelque sorte le roi sans couronne de Mondstadt. Histoire du personnage 1 Débloqué au Niv. d'affinité 2 Le parfum de vin est toujours présent dans l’air à Mondstadt ; celui qui le suit arrive inévitablement au Domaine de l’Aurore tenu par Diluc. En dessous du nom du Domaine gravé sur une plaque en bois est inscrit la devise suivant "Toujours authentique." La plupart des Mondstadtois pensent que la devise s’applique à l’alcool produit par le Domaine, signifiant par là qu’il reste élaboré dans le souci de la tradition. Les chevaliers de l’Ordre de Favonius, plus pragmatiques, estiment généralement que la devise fait allusion à la longue histoire de support mutuel liant le Domaine de l’Aurore à la cité. Le Domaine de l’Aurore organise de temps à autre de somptueuses fêtes, durant lesquelles on voit de nombreux pères venus présenter leurs filles au jeune maître célibataire de Domaine. Ceci est toujours source d’amusement pour les autres invités, qui commentent la chose de la manière suivante "Mieux vaut que maître Diluc reste marié à son Domaine ; le vin y est tellement bon !" Diluc sait gérer n’importe quelle situation de manière impeccable ; l’homme est un gentleman sous toutes ses coutures. Histoire du personnage 2 Débloqué au Niv. d'affinité 3 Diluc n’aime pas parler du passé. "Si seulement Diluc faisait encore partie de l’Ordre…" Ainsi parlent souvent les plus anciens des chevaliers après quelques verres. Les événements auxquels ils font mention remontent à un passé lointain, à l’époque où le père de Diluc, maître Crepus, l’ancien propriétaire du Domaine de l’Aurore, souhaitait que son fils devienne le plus estimé des chevaliers de la Cité de la Liberté. Conformément à la volonté de son père, Diluc suivit un entraînement rigoureux faisant honneur au nom des Ragnvindr. Il passa ensuite les épreuves réservés aux chevaliers de l’Ordre, à la suite de quoi il prêta serment et rejoignit leurs rangs. Il fut rapidement promu et devint le plus jeune capitaine de cavalerie de l’histoire de l’Ordre. Ses missions et patrouilles firent bientôt de lui un visage familier à Mondstadt. Diluc était capable de garder le sang-froid du chevalier et une passion infaillible quelle que soit la mission qu’on lui avait confiée. Peu importe la difficulté du challenge lui faisant face, le courage de Diluc le portait toujours aux premières lignes, le soutien et les éloges de ses camarades le poussant à repousser ses limites. Mais l’éloge le plus cher à son cœur était le suivant "Beau travail ; ça c’est mon fils." Les mots de son père étaient sa principale source de motivation, et brûlaient tel un feu inextinguible en lui. Diluc était alors si jeune… Histoire du personnage 3 Débloqué au Niv. d'affinité 4 "Il suffit d’une seconde pour qu’une vie bascule." Le jour où son père prononça ces paroles fut aussi le dernier jour de la vie de chevalier de Diluc. Ce fut le jour où un monstre terrifiant attaqua le convoi dont lui et son père faisaient partie. Diluc n’eut pas le temps d’envoyer chercher de l’aide ; le monstre était plus puissant que n’importe quelle créature rencontrée jusqu’ici par le jeune capitaine, et eut rapidement le dessus. Diluc n’aurait jamais pu deviner l’issue du combat son père, qui n’avait jamais pu rejoindre l’Ordre et que les dieux ignoraient vint à bout du monstre à l’aide d’un pouvoir maléfique inconnu ; mais il en fut également victime, trépassant peu après dans les bras de son fils. Le cœur lourd, Diluc rentra au quartier général de l’Ordre, pour y recevoir un ordre stupéfiant de l’inspecteur Eroch "La vérité doit être cachée." Ce dernier dans le souci de préserver la réputation des chevaliers aux yeux du public, insista pour que l’événement soit décrit comme un simple accident infortuné. La requête était tellement outrageante que Diluc ne prit pas la peine de la discuter. Son père lui avait dit autrefois que le monde ne tournait jamais le dos à celui qui a la foi. Mais voilà que les chevaliers de l’Ordre piétinaient allègrement sa foi. Diluc ne pouvait s’empêcher de se demander ce qu’avait pensé son père sur le sujet lors de ses derniers instants. Le jeune homme quitta l’Ordre le jour même, laissant tout derrière lui, même son œil divin. Il jura de trouver la source du pouvoir maléfique ayant mis fin aux jours de son père, et de venger sa mort. Histoire du personnage 4 Débloqué au Niv. d'affinité 5 Après avoir renoncé à son œil divin, Diluc confia la gestion du Domaine de l’Aurore à la responsable des servantes, et quitta Mondstadt. Il parcourut les Septs Nations de Teyvat à la recherche de la vérité. Toutes ses pistes pointaient dans la même direction une organisation tentaculaire, les Fatui. Il apprit ainsi que l’organisation avait réussi à contrefaire des yeux divins ; les contrefaçons ainsi obtenues étaient appelées "yeux maléfiques". Ce type d’Œil permettait d’amplifier à l’extrême le pouvoir de son possesseur, mais présentait aussi le risque de se retourner contre celui-ci. C’était ceci qui avait causé la mort de son père. Son père avait-il acquis un tel objet sacrilège dans le but de l’utiliser pour faire le bien ? Diluc savait que probablement jamais il ne connaîtrait la réponse de cette question ; mais cela ne l’empêcha pas de poursuivre sa quête de vérité. Tel l’aigle partant en chasse, la détermination l’habitait, et aucune épreuve ne semblait pouvoir l’arrêter. Sa volonté ne faillit point, semblable à quelque vent sacré venant lever les brumes du mystère. Cachés dans l’ombre, les Onze Exécuteurs, dirigeants des Fatui, suivaient ses progrès avec attention. À plusieurs reprises son avancée l’avait amené à détruire plusieurs bastions de l’organisation, et les Onze durent intervenir. Diluc échappa de peu à la mort de leurs mains grâce à l’intervention d’un observateur venant des pays du nord, faisant partie d’un vaste réseau de renseignement. Celui-ci lui apprit l’avoir suivi pendant un certain temps et approuver ses méthodes. D’avoir ainsi frôlé la mort poussa Diluc à l’introspection et à remettre en question son passé et la colère qui l’avait habité depuis si longtemps. Conscient qu’il avait encore à apprendre, il décida de rejoindre le réseau souterrain. Tout comme lorsqu’il avait rejoint l’Ordre de Favonius, Diluc se plongea corps et âme dans son travail, et son talent lui valut de grimper les échelons au sein de l’organisation. Celle-ci était composée de volontaires, et nombreux étaient ceux qui avaient abandonné une excellente situation pour la rejoindre, quand ce n’était pas leur nom. Travailler aux côtés de ces nouveaux compagnons lui permettrait-il de recouvrer la foi qu’il avait perdue suite à la mort de son père ? Histoire du personnage 5 Débloqué au Niv. d'affinité 6 "Toujours authentique." L'origine de cette devise est contestée, mais pour Diluc, son sens est on ne peut plus clair. "Le mal ne peut rester impuni. Ne te contente jamais de la médiocrité ; le jour finit toujours par se lever." Le voyage solitaire de Diluc dura plus de trois ans, et c’est un jeune homme ayant mûri qui revint lors de la quatrième année à Mondstadt pour reprendre les affaires de sa famille, et devenir le nouveau patron du Domaine de l’Aurore. Au cours des quatre années passés, la traîtrise de l’inspecteur Eroch avait été démontrée, et l’homme avait été banni des chevaliers de l’Ordre. Le Grand Maître de l’Ordre, Varka, parti mené une expédition loin de la cité, avait été remplacé par une jeune femme au nom de Jean, qui occupait à présent le poste de Grande Maîtresse suppléante. Le retour du propriétaire du Domaine de l’Aurore aurait en théorie dû être un événement à Mondstadt, mais passa presque inaperçu. Toute la cité avait son attention portée sur un mystérieux "Gardien de Mondstadt". On en savait peu à son sujet. Une légère odeur de brûlé l’accompagnait, et un éclair de flammes rougeoyantes avait à plusieurs reprises révélé sa silhouette avant qu’elle ne disparaisse aussitôt dans les ténèbres de la nuit. Les monstres qui depuis longtemps posaient problème aux environs de Mondstadt gisaient à présent sans vie à la sortie de la cité. Les bandits les plus recherchés de la ville furent découverts ligotés et suspendus par les pieds à la statue de la grande-place. Les chevaliers de l’Ordre, qui s’étaient réunis pour en finir une bonne fois pour toute avec un Mage de l’Abîme responsable de nombre de crimes dans la cité, le trouvèrent à leur grande surprise mort à leur arrivée… La nouvelle qu’un ange-gardien protégeait Mondstadt, sujet préféré des conversations avinées, se répandit comme une traînée de poudre à travers la ville. On lui a même récemment donné un surnom le "Héros de la Nuit". Au yeux des autres, il semble que Diluc ne porte guère le fameux héros dans son cœur ; il fronce les sourcils en une expression d’aversion à chaque fois que le nom lui parvient aux oreilles. Elzer, de l'Association des entreprises du vin, est sans doute l'une des très rares personnes à savoir pourquoi, depuis qu'il a posé la question suivante à Diluc "Vous jouez la comédie pour éviter que les chevaliers de l'Ordre ne découvrent de qui il s'agit et que son identité ne soit révélée ?" À quoi Diluc répondit simplement, les sourcils toujours froncés "C'est un surnom tellement stupide." Cidre du Domaine de l’Aurore Débloqué au Niv. d'affinité 4 Diluc a beau tenir l’industrie du vin entre ses mains, il n’en est pas pour autant amateur d’alcool. À sa demande, le Domaine de l’Aurore a mis au point différents breuvages non alcoolisés, initiative qui fut saluée par tous les habitants de Mondstadt qui pour une raison ou une autre ne peuvent boire d’alcool, mais aiment malgré tout siroter quelque chose de temps en temps. Parmis ces boissons figure en haut de la liste le cidre de pomme, dont la production mensuelle est presque égale à celle du vin de dent-de-lion. Pour certains, son succès est dû aux exigences de Diluc en matière de goût et de qualité, que l’on ne voit jamais boire autre chose que des boissons délicates et onéreuses. Pour d’autres, la raison de l’invention d’un tel breuvage réside dans le fait que tout alcool est un rappel douloureux de son père décédé. Lorsqu’on le presse, Diluc répond toujours que l’alcool lui fait tourner la tête, et l’empêche de travailler correctement. Mais la question demeure pourquoi le propriétaire d’un domaine vinicole a-t-il besoin de garder les idées claires à toute heure du jour et de la nuit ?… Œil divin Débloqué au Niv. d'affinité 6 Maître Crepus eut deux grands regrets dans la vie ne pas avoir réussi à devenir chevalier, et n'avoir jamais obtenu d'œil divin. Lorsque Diluc reçut le sien, il pensa tout de suite qu'il s'agissait d'un signe des dieux venant cautionner l'idéal qu'il partageait avec son père. Enfin, il allait pouvoir faire honneur aux attentes de ce dernier. À peine quelques années plus tard mourrait maître Crepus. La flamme d'idéal et d'espoir qui brûlait dans l'artéfact de Diluc mourut elle aussi, emportée le soir de ce jour fatidique par la pluie qui tombait en trombes sur Mondstadt. Aussi généreuse et charitable que pût se montrer une personne, la mort ne faisait de cadeau à personne, et pouvait survenir sans avertissement. Une vie dédiée à la justice prenait donc fin ainsi, et... rien d'autre ? Les deux rêves de son père, être détenteur d'un œil divin et faire partie des chevaliers de l'Ordre, paraissaient à présent aussi inutiles l'un que l'autre aux yeux de Diluc. Si posséder l'artéfact ne permettait même pas de protéger les personnes les plus chères à son cœur, alors à quoi bon ? Et c'est ainsi que Diluc abandonna l'un comme l'autre. Lorsque le jeune homme réalisa la futilité et la fragilité de sa propre existence, son artéfact devint un poids, pas plus utile à ses yeux qu'un œil maléfique. Seules lui importaient dorénavant les flammes capables de brûler plus fort que toutes autres, et la détermination qui l'habitait à présent. Car seules les flammes seraient capables de venir à bout de la glace immobilisant la main de la justice, et seule une détermination inébranlable pourrait guider sa poursuite de la vérité. Lorsque Diluc rentra à Mondstadt, des années plus tard, son œil divin l'accompagnait à nouveau. Les années d'entraînement et d'adversité avaient chassé définitivement toute trace d'insouciance et d'innocence chez le jeune homme, et l'avaient changé en un héros capable de faire à nouveau honneur à l'héritage de son père. Depuis, il parcourt la cité à la nuit tombée, combattant pour Mondstadt. Il ne parle jamais de son passé, pas plus qu'il ne le renie. Pour l'âme perdue, peut-être que l'œil divin est tel un don des dieux, une lumière les guidant dans les ténèbres. Mais pour celui qui avance avec détermination, l'œil divin n'est que le prolongement de sa propre force, le moyen de canaliser sa propre puissance. Un tribut aux expériences qui ont fait de lui la personne qu'il est devenue, et un témoignage de l'existence qu'il a parcourue.
Ayant à l'esprit les cas de ces dernières années, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi publie Samaritanus bonus», une lettre approuvée par le Pape François, qui réitère la condamnation de toutes les formes d'euthanasie et de suicide assisté. Elle appelle à un soutien renforcé aux familles des malades et aux travailleurs de la santé. Vatican News Reconnaître l'impossibilité de guérir ne signifie pas la fin de l'action médicale» à l’instar de ceux qui naissent en étant destinés à vivre un court laps de temps, toute personne souffrant d'une maladie entrée dans sa phase terminale, a le droit d'être accueillie, soignée, entourée d'affection. L'Église s'oppose à l’acharnement thérapeutique mais réaffirme, comme enseignement définitif», que l'euthanasie est un crime contre la vie humaine», que toute coopération formelle ou matérielle immédiate à un tel acte est un péché grave» et qu'aucune autorité ne peut légitimement» l’imposer ou l’autoriser. Voilà ce qu’on peut lire dans la lettre de la Congrégation pour la Doctrine de la foi Samaritanus bonus» portant sur la prise en charge des personnes dans les phases critiques et terminales de la vie». Elles est publiée ce mardi 22 septembre, après avoir été approuvée par le Pape François en juin dernier. L’actualité du Bon Samaritain La publication de ce texte qui réaffirme la position plusieurs fois exprimée par l'Église sur le sujet, a été jugée nécessaire en raison de la multiplication des cas apparaissant dans les médias mais également de l'avancement de la législation qui, dans un nombre croissant de pays, autorise l'euthanasie et le suicide assisté pour les personnes gravement malades, mais aussi de celles qui sont seules ou qui ont des problèmes psychologiques. L'objectif de la lettre est de fournir des indications concrètes pour actualiser le message du Bon Samaritain. Même lorsque la guérison est impossible ou peu probable, l'accompagnement médical, infirmier, psychologique et spirituel est un devoir incontournable, car le contraire constituerait un abandon inhumain du malade». Soigner même lorsque la personne est incurable Guérir si possible, toujours prendre soin». Ces paroles de Jean-Paul II expliquent que l'incurable n'est jamais synonyme d'insoignable. Prendre soin de la personne malade jusqu'au bout, être avec» elle, l'accompagner en l'écoutant, en lui faisant sentir qu'elle est aimée et désirée, voilà ce qui peut éviter la solitude, la peur de la souffrance et de la mort, et le découragement qui en découle… autant d’éléments qui sont aujourd'hui parmi les principales causes des demandes d'euthanasie ou de suicide assisté. Dans le même temps, il est souligné que des abus sont fréquemment signalés par les médecins de personnes dont on a supprimé la vie alors qu’elles n'auraient jamais souhaité pour elles-mêmes l'application de l'euthanasie». L'ensemble du document se concentre sur le sens de la douleur et de la souffrance à la lumière de l'Évangile et du sacrifice de Jésus la douleur n'est existentiellement supportable que là où il y a l’espérance. L'espérance que le Christ transmet aux souffrants et aux malades est celle de sa présence, de sa réelle proximité». Les soins palliatifs ne suffisent pas si personne ne “se tient”pas aux côtés du malade, et ne témoigne de sa valeur unique et irremplaçable». La valeur inviolable de la vie La valeur inviolable de la vie est une vérité fondamentale de la loi morale naturelle et un fondement essentiel de l'ordre juridique», affirme la lettre. De même que nous ne pouvons pas accepter un autre homme comme esclave même s'il nous le demande, nous ne pouvons pas choisir directement de porter atteinte à la vie d'un être humain, même s'il l'exige», poursuit le document. Supprimer un malade qui demande l'euthanasie ne signifie pas "reconnaître son autonomie et la valoriser", mais au contraire, cela signifie "ignorer la valeur de sa liberté, fortement conditionnée par la maladie et la douleur, et la valeur de sa vie». Ce faisant, on décide à la place de Dieu le moment de la mort». Pour cette raison, souligne la Congrégation pour la Doctrine de foi, l’avortement, l’euthanasie et même le suicide délibéré […] corrompent la civilisation, déshonorent ceux qui s’y livrent plus encore que ceux qui les subissent et insultent gravement à l’honneur du Créateur». Des obstacles qui obscurcissent la valeur sacrée de la vie Le document mentionne plusieurs facteurs limitant la capacité à saisir la valeur de la vie. Le premier est une utilisation équivoque du concept de mort digne» par rapport à celui de qualité de vie», dans une perspective anthropologique utilitaire. La vie n'est considérée comme digne» qu'en présence de certaines caractéristiques psychiques ou physiques. Un deuxième obstacle est une compréhension erronée de la compassion». La véritable compassion humaine ne consiste pas à provoquer la mort mais à accueillir le malade, à le soutenir» en lui offrant de l'affection et des moyens pour soulager sa souffrance. Un autre obstacle est l'individualisme croissant, qui est la racine de la maladie la plus latente de notre temps la solitude». Face aux lois qui légalisent les pratiques euthanasiques, des dilemmes parfois infondés» se posent sur la moralité d'actes qui, en réalité, ne sont rien d'autre que des actes dus aux simples soins de la personne, comme par exemple hydrater et nourrir un malade dans un état d'inconscience sans perspective de guérison". Le magistère de l’Église Face à la multiplication des protocoles médicaux de fin de vie, la Congrégation pour la Doctrine de la foi s'inquiète de l'abus largement répandu d'une perspective euthanasique» sans consultation du patient ou des familles. C'est pourquoi le document réaffirme comme enseignement définitif» que l'euthanasie est un crime contre la vie humaine», un acte intrinsèquement mauvais quelles que soient l'occasion ou les circonstances». Par conséquent, toute coopération immédiate, formelle ou matérielle, est un grave péché contre la vie humaine qu'aucune autorité ne peut légitimement» imposer ou autoriser. Ceux qui adoptent des lois sur l'euthanasie et le suicide assisté se rendent donc complices de péchés graves» et sont coupables de scandale car ces lois contribuent à déformer la conscience, même des fidèles». Aider une personne suicidaire est ainsi une collaboration indue à un acte illicite». L’acte d’euthanasie reste inadmissible même lorsque le désespoir ou l’angoisse peuvent diminuer ou même rendre insuffisante la responsabilité personnelle de ceux qui l’exige. Il s’agit donc toujours d'un choix erroné» et le personnel soignant ne peut jamais se prêter à pratiquer l’euthanasie ni à la demande de la personne concernée, et encore moins de ses proches» insiste le document. Les lois qui légalisent l’euthanasie sont par conséquent injustes. Les supplications des très grands malades demandant parfois la mort ne doivent pas être comprises comme l’expression d’une vraie volonté d’euthanasie» mais comme une demande d’aide et d’affection. Non à l’acharnement thérapeutique Le document explique que protéger la dignité de la fin de vie signifie exclure à la fois l'anticipation de la mort, mais également son report par ce qu’on appelle un acharnement thérapeutique’», rendu possible par la médecine moderne qui est capable de retarder artificiellement la mort, sans que le patient ne reçoive un réel bénéfice dans certains cas». Et donc, dans l'imminence d'une mort inévitable, il est légitime de prendre la décision de renoncer aux traitements qui ne feraient qu'apporter une prolongation précaire et douloureuse de la vie», mais sans interrompre le traitement normal dû à la personne malade. Le renoncement à des moyens extraordinaires et disproportionnés exprime donc l'acceptation de la condition humaine face à la mort. Mais la nourriture et l'hydratation doivent être correctement assurées car un soin de base dû à chaque homme consiste à administrer la nourriture et les fluides nécessaires». Les paragraphes consacrés aux soins palliatifs, un outil précieux et indispensable» pour accompagner le patient, sont importants Procéder à ces soins réduit considérablement le nombre de personnes demandant l'euthanasie. Parmi les soins palliatifs -qui ne peuvent jamais inclure la possibilité d'euthanasie ou de suicide assisté-le document inclut également l'assistance spirituelle au patient et à ses proches. Aider les familles Lors du traitement, il est essentiel que le patient ne se perçoive pas comme un fardeau, mais qu’il ressente au contraire la proximité et la considération de ses proches». Pour mener à bien cette mission, la famille a besoin d'aide et de moyens adéquats. Il est donc nécessaire, précise la lettre, que les États reconnaissent la fonction sociale première et fondamentale de la famille et son rôle irremplaçable, également dans ce domaine, en lui fournissant les ressources et les structures nécessaires pour la soutenir». Soins prénataux et pédiatriques Depuis leur conception, les enfants atteints de malformations ou de pathologies de tous types sont de petits patients que la médecine d’aujourd’hui est toujours capable d’assister et d’accompagner en respectant la vie». Dans la lettre, il est signifié qu’en cas de pathologies prénatales … qui conduiront certainement à la mort dans un court laps de temps, et en l'absence de thérapies capables d'améliorer l’état de santé de ces enfants, il ne faut en aucun cas les abandonner en termes de soins, mais les accompagner comme tout autre patient jusqu'à ce que survienne la mort naturelle», sans suspendre la nutrition ou l’hydratation. Ces paroles peuvent se référer à plusieurs cas récents mentionnés par la presse. Le recours parfois obsessionnel au diagnostic prénatal» et l'émergence d'une culture hostile au handicap qui conduit souvent au choix de l'avortement -qui "n'est jamais légal"» y sont également condamnés. Sédation profonde Pour soulager la douleur du patient, la thérapie analgésique recourt à des médicaments qui peuvent provoquer une suppression de la conscience. L’Église affirme la licéité de la sédation dans le cadre des soins qui sont offerts au patient, afin que la fin de la vie se fasse dans la plus grande paix possible et dans les meilleures conditions intérieures. Cela est également vrai dans le cas des traitements qui rapprochent le moment de la mort sédation palliative profonde en phase terminale, toujours si possible avec le consentement éclairé du patient, précise le document. La sédation est en revanche inacceptable si elle est administrée pour causer directement et intentionnellement la mort». L’état végétatif et l’état de conscience minimale Il est toujours trompeur» de penser que l’absence de conscience minimale, chez des sujets qui respirent de façon autonome, soient le signe que le malade a cessé d'être une personne humaine avec toute la dignité qui lui est propre». Même dans ces états végétatifs et de conscience minimale, la personne malade doit être reconnue dans sa valeur et assisté par des soins appropriés», que sont l’hydratation et la nourriture. La lettre reconnait néanmoins que dans certains cas, ces mesures peuvent devenir disproportionnées, soit parce que leur administration n'est plus efficace, soit parce que les moyens de les administrer créent une charge excessive et entraînent des effets négatifs qui l'emportent sur les avantages». Le document répète qu’un soutien adéquat devrait être fourni aux proches du malade afin qu’ils puissent supporter le poids que constitue une assistance prolongée aux malades en état végétatif». Objection de conscience Enfin, la lettre demande aux Églises locales des positions claires et unifiées sur ces questions et invite les établissements de santé catholiques à être des témoins fidèles de l'indispensable attention éthique au respect des valeurs humaines fondamentales et des valeurs chrétiennes qui constituent leur identité, en s’abstenant de comportements clairement illicites moralement et par une obéissance déclarée et formelle aux enseignements du Magistère ecclésial». Les lois approuvant l'euthanasie non seulement ne créent pas d'obligations pour la conscience» mais elles entraînent une obligation sérieuse et précise de s'y opposer par l'objection de conscience» poursuit le texte. Le médecin n'est jamais un simple exécutant de la volonté du patient» et conserve le droit et le devoir de se soustraire à des volontés s’opposant au bien moral tel que sa propre conscience le perçoit». Il est d'autre part rappelé qu'il n'existe aucun droit de disposer arbitrairement de sa vie, de sorte qu'aucun agent de santé ne peut devenir le tuteur exécutif d'un droit inexistant». Il est important que les médecins et tout membre du personnel de santé soient formés à l'accompagnement chrétien des mourants, comme l'ont montré les récents événements dramatiques liés à l'épidémie de Covid-19. Quant à l'accompagnement spirituel et sacramentel de ceux qui demandent l'euthanasie, même lorsqu'une personne n'est pas en condition objective pour recevoir les sacrements, une proximité qui invite toujours à la conversion est nécessaire» mais aucun geste extérieur pouvant être interprété comme une approbation de l'euthanasie, tel que rester présent au moment de sa réalisation, n'est admissible. Une telle présence ne peut être interprétée que comme une complicité».
la mort est du domaine de la foi